A l’époque du « tout urgent mondialisé », faire plus vite, faire mieux, avec moins de moyens, moins de temps et plus de stress, est une situation de plus en plus mal vécue.
Ce que nous croyons être un problème de temps n’est en réalité qu’un problème de choix, en particulier le choix du nombre restreint de buts essentiels. Le temps et la façon dont nous le vivons, nous renseignent sur la valeur subjective des activités que nous accomplissons.
La « gestion du temps » classique convient au monde professionnel de la rationalisation, du contrôle et de la norme comme valeur. Elle propose souvent des outils qui favorisent le repli sur soi, transformant les interruptions en dérangements et glorifiant l’action pour l’action.
Nous l’appréhendons autrement !